Conseils généraux :
Il ne faut pas s’interdire d’utiliser : il faut bien connaître pour bien utiliser.
L’huile essentielle est merveilleuse en préventif comme en curatif, car son côté volatile ne produit aucun effet d’accoutumance, et il est facile de faire voyager l’huile essentielle ; elle trouvera d’elle-même sa destination en fonction de son pouvoir moléculaire.
Dès la première goutte, une huile essentielle est efficace. Il faut donc respecter les dosages par rapport aux protocoles d’utilisation indiqués.
En cas de terrain allergique fragile, le test de la goutte au creux du coude est recommandé.
Si une réaction de rougeur apparaît dans les 15 minutes, utilisez une autre huile.
Sur les fiches analytiques, figurent toujours les allergènes en première page.
Souvent, leur présence est infinitésimale (<1%).
Pour les enfants, il faut prendre plus de précautions en fonction de l’âge, puis du poids.
Pendant les 6 premiers mois de la vie, seul peut être utilisé une huile « sans risque », à faible dose en application sur le peton.
Pour les asthmatiques, s’ils sont adultes, c’est à leur choix, car j’ai souvent vu des asthmatiques adorer sniffer un stick. Pour les enfants, on s’abstiendra de diffuser en leur présence ; on préférera une application dorsale cutanée fortement diluée dans de l’huile végétale, pour éviter une prise directe avec l’odorat.
Quelques précautions sont à prendre pour les personnes hormono- dépendantes ou sous anti- coagulants. Pour les épileptiques, il vaut mieux s’abstenir sauf application fortement diluée à la décision de la personne utilisatrice.
Afin de vous accompagner dans votre utilisation, nos experts vous apporterons tous les conseils nécessaires.
C’est ce pourquoi nous faisons de plus en plus et progressivement une utilisation d’huiles de proximité, tout particulièrement les huiles essentielles de menthe poivrée et de lavandin grosso, les huiles végétales d’amandon de prune, de chanvre, de cameline, dont vous retrouverez les propriétés au sein de notre article : lire l’article.